Sainte chanson

Voilà une superbe chanson qui vous prends au coeur par un très bon chanteur !!!


Pregherò (stand By Me) (Je Prierai (Reste Près De Moi))


Pregherò
Je prierai
Per te
Pour toi
Che hai la notte nel cuor
Qui a la nuit dans le coeur
E se tu lo vorrai
Et si tu le voulais
Crederai.
Tu croirais.
Io lo so perché
Moi je le sais pourquoi
Tu la fede non hai
Tu n'as pas la foi
Ma se tu lo vorrai
Mais si tu le voulais
Crederai.
Tu croirais.
Non devi odiare il sole
Tu ne dois pas detester le soleil
Perché tu non puoi vederlo,
Parce que tu ne peux pas le voir,
Ma c'è
Mais il est là
Ora splende su di noi,
Maintenant il resplendit sur nous,
Su di noi.
Sur nous.
Dal castello del silenzio
Du château du silence
Egli vede anche te
Lui te voit aussi
E già sento
Et je sens déjà
Che anche tu lo vedrai.
Que toi aussi tu le verras
Egli sa
Lui sait
Che lo vedrai
Que tu ne le verras
Solo con gli occhi miei
Qu'avec mes yeux
Ed il mondo
Et le monde
La sua luce riavrà.
Aura de nouveau sa lumière.
Io t'amo, t'amo, t'amo,
Moi je t'aime, je t'aime, je t'aime,
O-o-oh !
O-o-oh !
Questo è il primo segno
Ça c'est le premier signe
Che dà
Qui indique
La tua fede nel Signor.
Ta foi en le Seigneur.
Nel Signor, nel Signor.
En le Seigneur, en le Seigneur.

Père Noël : Sa véritable histoire

Sainte Barbe
Depuis quelques jours (6 décembre), est passé le Saint patron préféré des enfants : Saint Nicolas. Mais un peu avant, le 4 décembre, c'est la Sainte Barbe (ou Barbara).
Cette jeune femme devenue Sainte serait née au milieu du 3ème siècle de notre ère dans l'Anatolie actuelle. Son Père était païen mais Barbe souhaitait devenir Chrétienne et consacrer sa vie à Jésus. La jeune femme, refusant de se plier à la volonté de son père et à l'obligation de se marier, fut torturée puis décapitée par ce dernier. Il fut aussitôt châtié en mourant frappé par la foudre du ciel.

Aujourd'hui, elle est la Sainte patronne de nombreuses professions : pompiers, architectes, mathématiciens, mineurs, artilleurs, chimistes, artificiers et métallurgistes entre autres.

En Provence, il est une très ancienne coutume de planter du blé le jour de la Sainte Barbe. Cette tradition est probablement issue de vieux rites païens Christianisés. Il y a fort longtemps, l'hiver était une saison angoissante car les hommes avaient peur que le soleil ne revienne pas et qu'il n'y ait plus de printemps et d'été prometteurs de nouvelles récoltes. Aussi, ayant remarqué que les jours rallongent vers la fin décembre, les anciens prirent l'habitude de mettre à germer du blé, début décembre. Ils utilisaient des coupelles qu'ils disposaient ensuite à l'entrée des champs. C'était une sorte d'offrande à la terre afin d'espérer qu'elle redevienne fertile au printemps.

Il existe un dicton à ce sujet : "Quand le blé va bien, tout va bien / Blé germé, c'est la prospérité toute l'année".

De nos jours, on continue à faire germer le blé le 4 décembre dans des coupelles qui seront ensuite disposées en décoration sur la table du réveillon de Noël. Le 25, les blés sont décorés de rubans jaune et rouge puis le 26, les coupelles sont disposées devant la crèche jusqu'à l'épiphanie. Après, les blés seront replantés à l'extérieur.


Le sens de Noël

Pour les chrétiens, la fête de Noël (du latin natalis, « naissance », « nativité ») célèbre la naissance de Jésus, Fils de Dieu, le Sauveur attendu, annoncé par les prophètes.
Comme le racontent les évangélistes Luc et Mathieu, Marie « mit au monde son fils premier-né ; elle l’emmaillota et le coucha dans une mangeoire ». Dans les environs, se trouvaient des bergers. L’Ange du Seigneur s’approcha et leur dit : « Aujourd’hui vous est né un Sauveur dans la ville de David. Il est le Messie, le Seigneur. Et voilà le signe qui vous est donné : vous trouverez un nouveau-né emmailloté et couché dans une mangeoire ».
« Rien de merveilleux, rien d’extraordinaire, rien d’éclatant n’est donné comme signe aux bergers, commentait récemment le pape Benoit XVI. Ils verront seulement un enfant entouré de langes qui, comme tous les enfants, a besoin de soins maternels ; un enfant qui est né dans une étable et qui, de ce fait, est couché non pas dans un berceau, mais dans une mangeoire. Le signe de Dieu est l’enfant, avec son besoin d’aide et sa pauvreté ».
A Noël, le Fils de Dieu se fait homme !

Dans l’étonnant déroulement de cet événement inouï – le Fils de Dieu s’est fait homme ! -, les Pères de l’Eglise ont vu bien des signes : d’abord parce que l’enfant de Bethléem est né pauvre parmi les pauvres qu’étaient les bergers.

Egalement parce qu’enfant, il est faible et sans défense. Jésus vient ainsi parmi les hommes en partageant en tout leur condition humaine, à l’exception du péché.